Souffrances
La plus grande souffrance à porter,
C’est l’absence d’un être aimé,
Parti trop tôt ou à jamais,
On ne pourra pas l’oublier,
L’Amour ne peut pas s’effacer,
La mort ne peut pas l’emporter,
Mieux vaut la souffrance à l’oubli,
Mais on vit sa présence aussi,
La ressentir et lui parler,
Et partout on peut l’emmener,
On apprend à vivre pour deux,
Pour vivre enfin moins
Malheureux.
Terrible douleur à supporter,
Difficile de l’imaginer,
Quand elle vous prend et vous
Tenaille,
Par moment le cœur
Défaille,
Les minutes parraissent des heures,
Les heures semblent interminables,
Pour que cesse enfin la douleur,
Cette douleur insupportale,
On serait prêt à tout donner,
On voudrait ne plus exister,
On supplie, on prie ardemment,
Que vienne le soulagement.
La plus grande peine à oublier,
C’est la douleur d’un cœur brisé,
Sentiment d’être abandonné,
Le soleir cesse de briller,
Vraiment difficile à accepter,
Il faut pourtant se résigner
Cicatrice restera marquée,
Mais tire un trait sur le passé,
Il faut savoir tourner la page,
Se détacher de ce visage,
Pour reconstruire une autre vie,
Puis un jour l’amour refleurit.
Comme si ce n’était pas ssez,
Calamités et maladies,
Tous les accodents de la vie,
L’homme ne cesse d’en rajouter,
Soif de pouvoir et de profit,
Il assassine et il détruit.
Même au coeur de nos villages,
Que de conflits de voisinage,
Par envie ou commérage,
Quel gâchis et queks ravages.
Tant que l’homme n’a pas compris
Il passe à côté de la vie.
Anne Marie Lyse